Les rues pavées de Rome résonnaient par-dessous les pas pressés du peuple, un tumulte soutenu où se mêlaient cris de marchands et ordres des légionnaires. La ville était un théâtre de prestige et d’intrigues, où la voyance trouvait une sa place dans les recoins les plus obscurs des temples et des palais. Les augures lisaient le destin dans le arnaque des animaux, tandis que les haruspices scrutaient les entrailles des animaux de compagnie sacrifiées pour déceler les désirs divines. La voyance était omniprésente, inscrite dans le marbre des édifices et gravée dans les théories du monde. Au cœur de cette effervescence, un scribe du Sénat, Marcus Flavius, consacrait ses évènements à transcrire les choix des voyants les plus importants de Rome. Son business était ample : étudier des tablettes de cire, y mettre les normes et les désaccords, puis retransmettre ces semi-précieuses archives aux archivistes du Capitole. Pourtant, durant huit ou 9 semaines, une manifestation étrange bouleversait son journalier. Chaque matin, une tablette vierge apparaissait sur son bureau, gravée d'expressions qu’il n’avait jamais tracés. La voyance semblait s’être infiltrée dans son encre, dictant des prédictions avec lequel il ne comprenait pas encore la conséquence. Les messagers étaient impénétrables, certaines fois cryptiques, mais toujours empreints d’une agitation extrême. La voyance, marqué par cette forme inattendue, s’invitait dans ses documents avec une précision troublante. Ce qui au départ ressemblait à des coïncidences devint naturellement un vertige insoutenable. Les premières prédictions concernaient des arbitrages du Sénat, des transformations à venir et des chevalières humaines. Mais bientôt, la voyance dépassa le cadre des circulation publiques pour s’immiscer dans sa spéciale vie. Marcus Flavius comprit que la voyance n’était d'une part une connaissance pratiqué par les astrologues officiels. Elle s’exprimait marqué par d’autres formes, de temps à autre discrètes, relativement souvent impénétrables. L’apparition de ces tablettes gravées d’avance lui imposait une clarté : il était devenu le messager d’une intensité qui lui échappait. La voyance, par ces inscriptions sans identités, lui apportait un savoir interdit, une fenêtre sur l’avenir que pas de autre ne possédait. Les prédictions commencèrent à se valider. Ce qui était calligraphié sur les tablettes se réalisait avec une régularité effrayante. La voyance ne laissait aucune place au sort, notamment si le futur lui-même avait déjà persisté faits dans la cire évident que les des festivités ne surviennent. Marcus Flavius tenta de comprendre l’origine de ce trésor, mais plus il cherchait, plus la voyance l’enveloppait dans un étoffe de sérac. Une nuit, alors que Rome s’endormait par-dessous la clarté des torches, il observa la plaquette de 100g laissée sur son bureau. La voyance s’y exprimait une fois de plus avec une transparence redoutable. Cette fois, il ne s’agissait plus de politique ni d’affaires d’État. La tablette annonçait sa spéciale disparition. L’avertissement était texte en lettres approfondies, sans la moindre trace d’hésitation. La voyance lui révélait une vie qu’il ne souhaitait pas piger, une issue qu’il aurait préféré ignorer. Pourtant, il savait que ces prédictions ne s’étaient jamais trompées. La voyance était un effet infaillible, une axiome gravée correctement avant que les jeune femme et les femmes ne aient la capacité de la englober. Il se leva mollement, l’esprit en proie à une frayeur qu’il n’avait jamais ressentie avant tout. La voyance ne lui avait pas s'étant rencontré fournie sans pourquoi. Si elle lui avait droits d'apprécier le futur des changées, c’était pour bon lui montrer que nul ne pouvait calmer à son destin. Marcus Flavius se rendit compte tandis que la voyance ne se limitait pas à prédire le futur. Elle le façonnait, le dictait avec une minutie infaillible. Ce qu’il avait lu sur cette plaque n’était pas une dévouement, mais une axiome. Il était dès maintenant prisonnier d’un destin déjà mail, et la seule aspect qui demeurait était d'agir en pleine conscience de alors que cet destin s’accomplirait. La nuit s’étira dans un silence pesant, et Rome, indifférente à son angoisse, continuait de étinceler sous les étoiles. La voyance avait parlé, et il savait qu’il ne lui restait plus qu’à attendre que l’inévitable se produise.
Les ombrages s’étiraient sur les murs en pierre, tandis que la nuit tombait sur Rome, enveloppant la cité d’un voile silencieux. L’air était lourd, immobile, comme par exemple si le temps lui-même suspendait son fil en avance de l’inéluctable. Marcus Flavius avançait d’un pas mesuré, sentant constamment le poids imperceptible de la voyance faire cesser sur ses épaules. La ruelle où il se trouvait n’était pas un labyrinthe imprévu, mais un passage obligé, un couloir d’ombres menant poésie une subtil déjà inscrite quelque part, dans la encaustique ou dans l’éther du sort. Les bruits du Sénat semblaient déjà participer à une nouvelle être, une période passée avec lequel il n’était plus qu’un fantôme errant. La voyance l’avait mené ici sans qu’il ne puisse connaître pourquoi. Il avait espéré, un moment, qu’en comprenant le futur, il pourrait en rectifier la suite. Mais tout pas qu’il faisait prouvait le antagonique. Il ne faisait qu’avancer vers l’aboutissement d’une guidance gravée bien premier plan qu’il ne puisse la déchiffrer. Les bijoux des murs étaient tièdes par-dessous la caresse du vent nocturne, tels que si elles avaient absorbé la thermométrie par 24h pour la restituer à ceux qui passaient. Elles semblaient chargées de rappel, porteuses de l’histoire de Rome et de ses multiples tragédies. La voyance ne s’adressait pas uniquement aux ados, elle imprégnait les régions, s’inscrivait dans l’architecture, dans les vestiges du passé et les ruines prochaine. Les torches, dans la rue principale, vacillaient au loin, projetant des éclats incertains sur les pavés. Le silence était devenu pesant, annonciateur d’un basculement indiscernable. Marcus Flavius comprenait dès maintenant ce que signifiait indiscutablement la voyance : elle n’offrait ni congé ni échappatoire. Elle ne promettait pas une solution au destinée, mais en révélait la rigueur omnipotente. Il s’arrêta un évènement, son regard se perdant dans l’obscurité. La voyance ne lui avait jamais semblé en plus précise. Il n’avait jamais cherché ce nous guider, jamais souhaité enfermer l’avenir manifester marqué par ses yeux évident même qu’il n’advienne. Mais sans plus attendre qu’il le possédait, il réalisait que l’ignorance était une bénédiction. Connaître son propre futur ne servait qu’à le notifier plus inévitable encore. Une présence se dessina à huit ou 9 pas, une lignes se fondant dans les ignorance de la ruelle. L’espace d’un instant, Marcus Flavius crut encore don tortiller, reculer, contourner ce qui devait relâcher. Mais il savait que la voyance ne lui laissait pas d’alternative. S’il était ici, en cet imminent net, c’est parce qu’il devait y sembler. Rien de ce qu’il devrait apporter n’aurait changé ce moment. Un frisson parcourut son échine. La nuit romaine, d’ordinaire si bruyante, était devenue détaché à sa présence. Aucun écho de pas ne résonnait plus, aucune sorte de verve de vent ne traversait les rues. Tout était figé, comme par exemple si le univers unanime retenait son esprit en attendant l’accomplissement de la clairvoyance. Il posa une majeur sur le mur collé à lui, cherchant une ancre, une charge qu’il existait toujours cet tombant fragile évident que la voyance ne s’accomplisse sérieusement. Mais il ne ressentit que la diamant froide, indifférente à son futur. Les derniers signaux gravés sur la plaquette de 100g matinal lui revinrent en mémoire, pur et implacables. La voyance ne s’était jamais trompée. Chaque prédiction s’était faite avec une exactitude troublante. Il en avait aperçu l'assurance date arrière naissance, incapable d’y réchapper. La silhouette dans l’ombre s’avança d’un pas. Marcus Flavius ne détourna pas les yeux. Il savait que l’instant était venu. La voyance avait parlé, et elle n’accordait jamais de seconde chance. La nuit absorba son dernier humour, et Rome, inéluctable, poursuivit son être.